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Attention au moustique tigre en métropole !

S’il était jusque-là plutôt un habitué des terres humides de l’outre-mer, le moustique tigre est plus que jamais présent dans l’Hexagone. Cette année, il a été repéré dans 18 départements et affiche une progression rapide en peu de temps. Les risques liés à ses piqûres sont majoritairement ceux de l’exportation de maladies encore inconnues en métropole : la dengue et le chikungunya.

Dans le même temps, ce moustique est bien différent de son cousin local. Par exemple, il est plus particulièrement attiré par les couleurs sombres et peut piquer au travers des vêtements. L’une des premières actions pour éviter ses attaques est donc le port d’habits amples et clairs.

Des solutions pour limiter sa prolifération

La consigne la plus importante pour éviter sa prolifération est d’éliminer les eaux stagnantes, afin de réduire les lieux favorables à la ponte. Cela concerne les bassins, mais aussi les simples soucoupes de pots de fleurs. L’autre solution est l’emploi de répulsifs spécifiques qui viennent modifier les fonctions olfactives du moustique tigre, pour éviter ses piqûres. À l’inverse, la citronnelle, méthode bien connue sous toutes ses déclinaisons, se révèle totalement inefficace.

Les symptômes, eux, apparaissent après 2 à 10 jours d’incubation. Il s’agit de très fortes douleurs articulaires accompagnées de maux de tête importants et d’une très forte fièvre. La contagion est, quant à elle, active durant toute la durée de la fièvre,  la faveur, là encore, d’une piqûre de moustique.